LAPÉROUSE, UN FRISSON
À l’origine, un certain Lefèvre « limonadier du roi » et négociant en vins, qui s’établit en 1766 à l’adresse qui, quelque 100 ans plus tard, hébergera l’une des plus belles caves et accueillera le Tout Paris qui vient s’y encanailler le temps d’un souper. Car plus que la cuisine longtemps triplement étoilée, ce sont ses petits salons qui ont fait sa réputation et ses fameux miroirs que les cocottes griffaient avec le diamant offert par leur amant pour s’assurer de son authenticité…
Les années passent – le Second Empire, la Commune, la Troisième République, l’Occupation… – les illustres aussi, les salons demeurent. Eugène Delacroix, Hector Berlioz, Sarah Bernhardt, Orson Welles, Wallis Simpson, François Mitterrand… On dit que Serge Gainsbourg y rencontra Jane Birkin, on dit tant et si peu… car les petits salons se font forts de taire leurs secrets. Lapérouse devient aussi un terrain d’expression des artistes. Offenbach vient y chercher matière à ses musiques parisiennes, Colette y écrivit « Chatte », Balzac s’en inspire pour son roman feuilleton La Maison Nucigen en 1837, Woody Allen choisit l’adresse pour son film « Midnight in Paris »… Lapérouse (r)éveille l’inspiration.
LAPÉROUSE, UN FRISSON
À l’origine, un certain Lefèvre « limonadier du roi » et négociant en vins, qui s’établit en 1766 à l’adresse qui, quelque 100 ans plus tard, hébergera l’une des plus belles caves et accueillera le Tout Paris qui vient s’y encanailler le temps d’un souper. Car plus que la cuisine longtemps triplement étoilée, ce sont ses petits salons qui ont fait sa réputation et ses fameux miroirs que les cocottes griffaient avec le diamant offert par leur amant pour s’assurer de son authenticité…
Les années passent – le Second Empire, la Commune, la Troisième République, l’Occupation… – les illustres aussi, les salons demeurent. Eugène Delacroix, Hector Berlioz, Sarah Bernhardt, Orson Welles, Wallis Simpson, François Mitterrand… On dit que Serge Gainsbourg y rencontra Jane Birkin, on dit tant et si peu… car les petits salons se font forts de taire leurs secrets. Lapérouse devient aussi un terrain d’expression des artistes. Offenbach vient y chercher matière à ses musiques parisiennes, Colette y écrivit « Chatte », Balzac s’en inspire pour son roman feuilleton La Maison Nucigen en 1837, Woody Allen choisit l’adresse pour son film « Midnight in Paris »… Lapérouse (r)éveille l’inspiration.
Nos Salons
Amours clandestins, ripailles entre grands de ce monde ou célébrations heureuses : nos salons sont l’âme et la mémoire de la maison Lapérouse.
Le Bar
Atmosphère feutrée à l’heure de l’apéritif, plus festive à la nuit tombée : notre légendaire bar s’habille de nobles étoffes et d’un piano pour accompagner l’humeur de la soirée.
NOS SALONS
Amours clandestins, ripailles entre grands de ce monde ou célébrations heureuses : nos salons sont l’âme et la mémoire de la maison Lapérouse.
LE BAR
Atmosphère feutrée à l’heure de l’apéritif, plus festive à la nuit tombée : notre légendaire bar s’habille de nobles étoffes et d’un piano pour accompagner l’humeur de la soirée.